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4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 08:30

Sauver la planète
Nettoyer sans polluer

Les produits d'entretien classiques ne sont pas toujours sans conséquence sur l'environnement. Une association de consommateurs vient d'effectuer des tests sur dix-huit nettoyants ménagers. Ses conclusions ? : « la demande de retrait immédiat du marché de deux produits multi-usages (dont l'un dit «au savon de Marseille») qui contiennent des taux de formaldéhyde (cancérigène) très élevés et huit autres nettoyants ménagers polluant l'air intérieur avec des substances chimiques néfastes ».

Voici des produits naturels qui pourraient remplacer ces produits  néfastes :

Le citron s'applique très bien au briquage et nettoyage des cuivres et autres métaux sales ou  rouillés. La cendre est idéale pour faire reluire votre argenterie.
Le vinaigre blanc élimine les taches de cire et de résine, désinfecte et détartre, nettoie les carrelages et les vitres ; il peut même neutraliser les taches d'eau de javel, en l'appliquant immédiatement. Tout cela pour moins d'1€/L !
L'huile de lin fait briller meubles en bois et terres cuites.
Le savon noir est un excellent nettoyant (multi-usage), un puissant dégraissant et détachant toutes surfaces et avant-lavage. C'est aussi un antiseptique et un insecticide très efficace utilisé abondamment dans l'agriculture biologique. Il nettoie en profondeur, fait briller, nourrit et protège les sols. Le savon de Marseille (non-industriel) est utilisable pour l'hygiène corporelle (y compris dents et cheveux) et le lavage du linge. Néanmoins, prenez garde aux savons composés d'huile de palme provenant des pays du Sud où se perpétue le déboisement massif des forêts au profit des palmeraies.
Pour laver le linge, l'utilisation de balles de lavage permet d'obtenir un lavage plus performant en brassant et battant le linge, qui est ainsi mieux lavé, mieux rincé, plus doux et plus facile à repasser. En améliorant les performances de votre lave-linge, les boules de lavage permettent de réduire la dose de lessive utilisée et la quantité d'adoucissant. On peut aussi utiliser les boules récupérées à l'intérieur des souris d'ordinateur, ou des balles golf à mettre directement dans le tambour avec votre linge.
On assiste depuis deux ans au retour des noix de lavage (Sapindus Triofoliatus et Mukorossi) :  C'est le fruit de l'arbre à savon qui pousse dans les régions indiennes, mais aussi dans beaucoup d'autres pays comme en Algérie. Cet arbre est cultivé sans pesticides ou engrais car il aime les terrains pauvres et sa richesse en saponine le protège naturellement contre les insectes, les champignons et les maladies. Ses noix sont utilisées industriellement depuis longtemps dans les détergents, les shampoings, les textiles, l'alimentation, l'industrie pharmaceutique et par celle des films photographiques. Leur coquille développe plusieurs couches de savon concentré qui sont extraites au fur et à mesure des lessives. Elles sont utilisées pour laver le linge, y compris les tissus fragiles comme la soie ou la laine. Bien toléré par la peau des nourrissons, et des personnes souffrant d'allergies, ce nettoyant revient au final moitié moins cher que les détergents usuels : 1 kg noix de lavage (13 à 25€) suffit pour environ 100-150 lessives. La lessive blanche peut toutefois se couvrir d'un voile grisâtre en utilisation permanente, et certaines tâches peuvent résister ; on ajoutera alors un éco-agent anti-taches & de blanchiment, ainsi que des cristaux de soude comme anti-calcaire. Les noix de lavage peuvent également être utilisées en décoction comme shampooing antipelliculaire et démêlant, comme nettoyant tout-usage, comme savon liquide ou encore comme insecticide naturel (en pulvérisation sur les plantes).
L'utilisation de ces nettoyants classiques vous permettra de réaliser de substantielles économies, ainsi que de protéger votre santé comme celle de la planète.  Si vous n'étiez pas convaincu par ces produits, choisissez alors des nettoyants Bio dans les magasins, - attention aux faux " produits-bio " dont je vous parlerai au prochain numéro - et n'hésitez pas à pousser la porte des magasins Bio de la région, ils sont nombreux ! En attendant, réduisez tout simplement la quantité de produits que vous utilisez : 20 % en moins et ni votre carrelage ni votre vaisselle ni votre linge ne remarqueront la différence !


Pour plus de renseignements, rendez-vous sur l'excellent blog
Le Grand Ménage (
http://raffa.over-blog.com )

 

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5 mars 2006 7 05 /03 /mars /2006 20:09

La grippe à bières

" Ecoeuré par le spectacle laissé, sur le site du ball trap de Lauris par des jeunes habitants de la commune, j'ai décidé de dénoncer le manque de respect total du voisinage, de la nature et surtout,  cette acceptation comme une fatalité de ce phénoméne d'alcoolisme précoce. En effet, ces jeunes gens arrivent en fin d'aprés midi, en voitures. La derniére fois, c'était vendredi aprés midi, vers 16 h probablement aprés le collége ou le lycée. Une demie douzaine de voitures, une douzaine de jeunes, garçons et filles, de 12 ans (oui, il y avait une gamine qui ne faisait pas plus de 12 ans) à plus de 20 ans. .......
"Le lendemain, tu passes à la barraque du ball trap et tu trouves le spectacle ci-dessous : 

Ils viennent là uniquement pour se défoncer, puis ils laissent les bouteilles vides, alors que les conteneurs sont à moins de 15 métres. Ensuite, avec le recul tu te dis qu'il y avait des gamins ou gamines de 12 ou 13 ans qui ont dû rentrer bourré(e)s chez eux. Alors, c'est la révolte qui monte. Que font les parents ? Ces pauvres gamines, au chemin malheureusement tout tracé, laissées si tôt à leur destin d'alcoolo.

Alors tu appelles la mairie le samedi matin, tu demandes si Mme le Maire est là, non. Tu demandes le garde, il va venir voir. Je lui montre le spectacle, lui aussi il est un peu désabusé. "Lundi, la voirie viendra nettoyer". Moi, c'est pas ça que je voulais, je suis capable de le faire, mais je veux que cela reste, au moins tout le week end, pour montrer à tout le monde ce qui se passe vraiment dans une frange (que j'espére trés marginale) de notre jeunesse locale. Je peux pas m'empêcher de prendre des photos, je ne compte pas baisser les bras.

Ce matin, Dimanche tout est nettoyé (ça a été probablement fait Samedi aprés midi). Qui l'a fait si rapidement? Pourquoi? J'espére que ce n'est pas pour cacher ou masquer le phénoméne? As t'on essayé de savoir qui sont ces jeunes déjà complétement accro (j'ai dénombré pour vendredi soir 3 packs de 26 canettes soit 84 + diverses boites...soit une centaine de bieres pour une douzaine de gamins). Et les parents, ils ne voient rien ?

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19 juillet 2005 2 19 /07 /juillet /2005 00:00

Mise en place d'un SPANC à Lauris 
Compte-rendu de la réunion du 18 juillet au foyer rural
A la tribune, Mme Roustan, maire, Mme Moussier, Directeur du Syndicat et de la Régie (SIVOM Durance Luberon), M. Ménard et M.Duvauchel de la société SOGEDO
Près de 80 personnes étaient présentes.

 
Mmes Roustan et Messier

 
Intervention de M.Vanneyre

 
 Les différents textes réglementaires et législatifs rendent obligatoire pour la commune, la création d'un Service Public d'Assainissement Non Collectif, en clair un SPANC, au plus tard le 31 décembre 2005 (loi du 3 janvier 1992, dite loi sur l'eau). La commune de Lauris a chargé le SIVOM Durance Luberon de la gestion de cet organisme.
Le SIVOM Durance Luberon, a confié l'inventaire initial de l'existant à la société SOGEDO.

 

 

 

 

Organisation des inventaires : Prise de rendez-vous pour dresser, avec le propriétaire, le bilan des installations, puis rédaction d'un rapport remis au SIVOM Durance Luberon, à la mairie et au propriétaire.
Ces visites devraient commencer à Lauris au début du mois d'août 2005.

 

 

 

 

Ensuite, visite inspection* du SIVOM Durance Luberon qui contrôlera le fonctionnement et l'entretien de l'installation en donnant suivant les cas des conseils pour l'amélioration des installations. Cette visite-inspection* sera renouvelée tous les 4 ans avec vérification du fonctionnement et de l'entretien (certificat de la vidange de la fosse septique).

 

 

 

 

Précisions sur les installations non collectives :
Réalisées avant le 6 mai 1996 : Pas de travaux à entreprendre si le dispositif d'assainissement n'a pas d'impact sur l'environnement.
Réalisées après le 6 mai 1996 : La mise en conformité est obligatoire.

 

 

 

 

* Coût de chaque visite-inspection 76 € (tarif 2005)

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Autres renseignements

 

 

 

Liste des points examinés lors de la visite
- existence, localisation et description de la filière : collecte, prétraitement traitement, dispersion/rejet des effluents

- dimensionnement adapté, respect d'une distance de minimale de 35 m par rapport à tout captage d'eau utilisé pour la consommation humaine le cas échéant, implantation hors du périmètre de protection rapproché ou immédiat d'un captage d'eau utilisée pour la consommation humaine

- collecte de l'ensemble des eaux usées pour lesquelles l'ouvrage est prévu, à l'exclusion de toute autre (notamment eaux pluviales)

- ventilation des ouvrages de prétraitement

- dégagement et accessibilité des regards d'accès et tampons pour l'entretien

- fonctionnement de l'ouvrage

- état des ouvrages accessibles (fissures, corrosion)

- bon écoulement des effluents jusqu'au dispositif d'épuration

- fréquence et nature des entretiens

- préservation de la salubrité publique et absence de pollution

- nuisances constatées
 Eléments utiles à fournir lors de la visite 
 
- Documents à présenter, si disponibles : étude de sol et de définition de filière à défaut, plan de l'installation

- Connaissance et accessibilité aux ouvrages, dans la mesure du possible : emplacement des différents regards de l'ouvrage : tampons de la fosse, regards de contrôles (répartition, bouclage) localisation des points de rejet au milieu superficiel (exutoire)

Autres informations utiles :

- Année de construction du logement

- Date de réalisation de l'ouvrage

- Dernière vidange de la fosse  
 

Extraits de la CIRCULAIRE n° 97-49 DU 22 MAI 1997

www.alpesgeoconseil.com/assainis/circulaire.html
8.3. Le droit d'entrée dans les propriétés privées.
L'article L. 35-10 du Code de la santé, introduit par la loi sur l'eau du 3 janvier 1992, confère aux agents du service d'assainissement un droit d'accès aux propriétés privées pour le contrôle et l'entretien des installations d'assainissement non collectif: "Les agents du service d'assainissement ont accès aux propriétés privées pour l'application des articles L. 35-1 et 35-3 ou pour assurer le contrôle des installations d'assainissement non collectif et leur entretien si la commune a décidé sa prise en charge par le service." Ces pouvoirs très larges, méritaient d'être précisés à l'occasion de l'arrêté relatif aux modalités de contrôle, de façon à garantir le respect des droits et libertés des individus, tels que rappelés par le Conseil constitutionnel dans sa décision n° 90-286 du 28 décembre 1990. C'est l'objet des dispositions qui prévoient l'envoi d'un avis préalable d'intervention dans un délai raisonnable, et la rédaction d'un compte-rendu notifié au propriétaire des lieux. Ces deux formalités, prévues aux articles 3 et 4 de l'arrêté, constituent des conditions d'exécution de la mission des agents du service d'assainissement qui doivent être respectées pour que le droit d'entrée dans les propriétés privées ne puisse pas être remis en cause.
Il convient de signaler que les agents chargés du contrôle n'ont pas la possibilité de pénétrer de force dans une propriété en cas de refus du propriétaire. La loi n'a pas prévu en effet de mesure d'exécution d'office. Ces agents devront donc, s'il y a lieu, relever l'impossibilité dans laquelle ils ont été mis d'effectuer leur contrôle, à charge pour le maire de constater ou faire constater l'infraction.

 

11. Le cas des installations existantes.
II.2 Les obligations
La loi sur l'eau du 3 janvier 1992, en modifiant I'article L. 33 du Code de la santé publique, a créé une obligation générale pour les particuliers de disposer, lorsqu'ils ne sont pas raccordés au réseau public, d'installations d'assainissement " maintenues en bon état de fonctionnement ».
De ce fait, le particulier est tenu :
1. De justifier, dans tous les cas, d'une part de l'existence d'un dispositif d'assainissement, d'autre part de son bon fonctionnement qui doit être apprécié au regard des principes généraux exposés à l'article 26 du décret du 3 juin 1994, et à l'article L, l du Code de la santé publique.
2. Pour les installations existantes lors de la parution de l'arrêté du 6 mai 1996 de justifier du respect des règles de conception et d'implantation telles qu'elles figuraient dans la réglementation précédente.
II.2. Les instruments de réhabilitation des installations non conformes.
En pratique, la réhabilitation des dispositifs existants ne devrait être envisagée que lorsque les principes généraux exposés à l'article 26 du décret du 3 juin 1994 et à l'article L. l du Code de la santé publique ne peuvent être atteints. Le diagnostic des installations existantes sera le moyen approprié pour étudier au cas par cas cette nécessité et définir une hiérarchie des problèmes constatés.
L'application de l'article 31 de la loi sur l'eau permet de pallier le fait que l'installation des dispositifs d'assainissement non collectif ne soit pas expressément prévue par les dispositions relatives aux obligations de la commune ( article L. 2224-8 du Code général des collectivités territoriales).
Cet article 31 et le décret n~ 93-l182 du 21 octobre 1993 pris pour son application, permet aux communes de réaliser les travaux et ouvrages dont elle précise la finalité à condition que l'intérêt général ou l'utilité publique en aient été reconnus, à la suite d'une enquête publique menée dans les conditions prévues par les articles L. 151-36 à L. 151-40 du Code rural. Si les objets de ces déclarations d'intérêt général ont été essentiellement le curage des cours d'eau non domaniaux ou la défense contre les inondations sous l'empire des textes antérieurs à la loi sur l'eau, celle-ci a étendu cette possibilité à la lutte contre la pollution.
Dans ce cadre, il convient que le dossier mis à l'enquête publique comporte le bilan du diagnostic de fonctionnement des installations existantes, et une notice mettant en évidence les pollutions constatées ou, à défaut, les risques pour la santé publique que peut faire craindre l'état des installations visées.
En dehors de la possibilité offerte par cet article, le Conseil d'État, dans son avis précité, a estimé que la loi n'ayant expressément prévu la prise en charge par les communes que des prestations et dépenses de contrôle, et le cas échéant d'entretien des installations, les communes ne peuvent étendre l'objet des services publics à caractère industriel et commercial concernés pour réaliser leur réhabilitation que dans les limites imposées par le principe de liberté de commerce et d'industrie à la création de tels services par les collectivités locales.
Cette interprétation ne devrait cependant pas empêcher la collectivité d'intervenir, dans un cadre contractuel avec le propriétaire et l'occupant, dans le cas où l'exercice du contrôle ou de l'entretien des installations rend indispensable la reconstruction ou la réhabilitation préalable de celles-ci, cette mission étant connexe aux missions traditionnelles du service d'assainissement non collectif.

Liens :
http://www.ademe.fr/partenaires/Boues/Pages/f12.htm

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20 avril 2005 3 20 /04 /avril /2005 00:00

La vie de la commune et de l’intercommunalité !
INCINERATION, CHOIX PROVISOIRE ?

L'option d'envoyer, à terme, nos déchets à l'incinérateur de Vedène a été prise par notre Communauté de Communes des Portes du Luberon (CCPL) en octobre 2003.
Le petit dialogue suivant a eu lieu, dans ses grandes lignes, en conseil municipal public du lundi 8 mars 2004 à Lauris :
Question de Jean Boulnois  : Je reviens sur le choix "incinération" : aviez-vous préalablement débattu en conseil municipal de ce choix , voire voté la position de vos délégués à la CCPL, pour une décision de cette importance ?
Madame le Maire : non !
Une conseillère : je n'étais pas au courant...
Jean Boulnois : Pourquoi une telle décision à l'unanimité du conseil de la CCPL (où sont les votes "non" de Lauris ?) en faveur d'un choix difficilement compatible avec le développement durable et présentant des risques sanitaires ?
Madame le Maire : Pas simple, il faut une solidarité dans la CCPL -  et c'est une décision provisoire, liée à l'absence d'alternative existante.
Jean Boulnois : pourquoi justement avoir refusé de participer à l'étude "compostage" que mènent nos voisins de Cavaillon et Pertuis, et qui semble une alternative crédible  ?
Madame le Maire : nous n'avons pas eu le temps d'étudier tout à fonds. Il  faudrait du temps pour y voir plus clair sur ce sujet complexe - D'ailleurs il a fallu répondre au préfet dans l'urgence.
Jean Boulnois : une commission extra municipale "environnement" (à Lauris) , que je demande depuis plus d'un an, pourrait justement aider les élus à se faire une idée plus précise de ces dossiers !
Madame le Maire : c'est vrai, on y songe, il reste à trouver qui va s'en occuper parmi nous.
Jean Boulnois : ...et quant est -il de l'absence de concertation de la CCPL avec le public ?
Madame le Maire : c'est regrettable, il faudrait que ça change... Nous étions pour des commissions ouvertes, cela a été refusé.
Jean Boulnois : cela fait 5 mois que la décision est prise par la CCPL ,  il n'y a eu aucune information là dessus. Personne ne sait. Allez-vous communiquer et quand ?
Madame le Maire : Pourquoi communiquer, il y a eu le compte rendu public du conseil de la CCPL.
Jean Boulnois : c'est insuffisant !
Madame le Maire : on verra ce qu'on pourra faire

Compte-rendu de Jean Boulnois

Commentaires :
Il est urgent pour les élus de s'appuyer sur les associations compétentes dans ce domaine . Une telle décision doit être prise en connaissance de cause. Il convient de  demander l' ouverture d'une réelle concertation à la CCPL.
Rien ne nous prouve que cette mauvaise décision soit si provisoire que cela. Si c'était le cas, la CPLL serai déjà en train de préparer une solution de remplacement, ce qui n'est pas le cas.
Le choix de la CCPL en faveur de l'incinération tenait compte en octobre 2003 de l'absence d'une solution alternative prouvée. Depuis, l'étude de l'amélioration de la filière compostage (usine de Cavaillon) menée par nos voisins a été menée à son terme et ses conclusions, qui semblent positives, devraient maintenant être connues. Nous demanderons qu'elles nous soient communiquées. Les communes du syndicat Sud Luberon sont donc sans doute en train d'opter pour cette filière de traitement. Notre communauté pourrait avantageusement se rapprocher d'elles pour étudier la possibilité de s'associer à leur choix, lequel nous parait beaucoup mieux garantir la préservation de notre environnement, la conformité au plan départemental, et la coopération entre voisins.

Jean Boulnois

Article paru dans Lauris Ensemble n°99 de mars 2004

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